Vos dons à l’œuvre

La marque de tout bon organisme de collecte de fonds est sa capacité de réduire les coûts, de sorte que le pourcentage maximum de chaque dollar donné est investi dans les personnes qui en ont le plus besoin — celles qu’il est destiné à aider.

À CAMH, comme nous avons d’importants déficits de financement à combler, ce principe revêt une importance d’autant plus grande. Nous sommes très fiers d’annoncer que, pour l’exercice terminé le 31 mars 2017, les dépenses représentent seulement 18,6 % des revenus. En d’autres termes, chaque dollar dépensé en collecte de fonds, nous avons pu recueillir près de cinq dollars. À titre de comparaison, selon les lignes directrices de Revenu Canada, un ratio de collecte de fonds allant jusqu’à 35 % est considéré comme une pratique acceptable.

Et, dans l’intérêt de la transparence, vous êtes invités à consulter tous nos chiffres<link to 6.08.02.01 Annual Reports>.

Faire des progrès malgré le déficit

Bien que la maladie mentale représente environ 10 % du fardeau financier imposé par les maladies en Ontario, elle ne reçoit que 7 % du budget des soins de santé, ce qui crée un déficit d’environ 1,5 milliard de dollars par année. Ce n’est que grâce aux dons de personnes comme vous que nous pouvons changer la donne et continuer de faire bouger les choses. Au cours des dernières années, ces fonds ont pesé positivement sur la vie des gens et mené à certaines des percées les plus exaltantes dans la longue histoire de CAMH :

• Nous avons inventé des tests génétiques qui permettent d’apparier les patients avec les médicaments psychiatriques les plus efficaces en fonction de leur ADN.
• Nous avons mené des recherches de pointe sur la sclérose en plaques et le syndrome de stress post-traumatique, dévoilant de nouveaux traitements prometteurs.
• Nous avons découvert des liens entre les changements cérébraux durant le vieillissement naturel et la dépression, ce qui nous permettra de concevoir de nouveaux traitements thérapeutiques.
• Nous avons éliminé le précurseur de la dépression postnatale grâce à un complément alimentaire naturel.
• Nous avons créé des interventions précoces pour la psychose chez les jeunes en utilisant l’imagerie encéphalique pour comprendre le stress et le risque de maladie.
• Nous avons introduit le recours à l’imagerie encéphalique de pointe pendant l’évolution de la schizophrénie.
• Nous avons élargi le projet d’extension des services cliniques (ECHO) pour mieux servir les localités autochtones éloignées grâce à la technologie de télépsychiatrie.